Canada: des D3E à la rescousse de notre climat

Le 08/06/2007 à 18:37  

Canada: des D3E à la rescousse du climat
téléphones mobiles Bell est la plus grande entreprise de communications du Canada, offrant aux consommateurs des solutions à tous leurs besoins (services téléphoniques, service Internet haut débit, la voix sur IP...). Elle vient d'annoncer cette semaine qu'elle versera un dollar au WWF-Canada pour chaque téléphone mobile ou assistant numérique personnel (ANP), retourné par l'entremise de son programme primé de récupération des téléphones mobiles...

Les téléphones mobiles collectés dans le cadre du programme de récupération des téléphones mobiles de Bell sont remis à neuf pour réutilisation ou démontés et recyclés. Lancé en 2003 et offert dans tous les magasins du Groupe, le programme a permis, au cours de l'année passée, de détourner des sites d'enfouissement près de 100 000 téléphones et 21 tonnes de piles. Dorénavant, chaque téléphone retourné par l'entremise du programme signifiera un don pour soutenir les efforts continus du WWF-Canada dans sa lutte contre les changements climatiques et ses programmes de conservation.

"L'engagement de Bell à appuyer le WWF-Canada vous permet maintenant de recycler votre vieux téléphone mobile et ainsi réduire les déchets électroniques et contribuer à la lutte contre le réchauffement planétaire", a déclaré Mike Russill, Président et chef de la direction du WWF-Canada. "Nous sommes reconnaissants que ce programme de Bell ait été étendu afin d'appuyer notre travail visant à réduire la menace que représente le réchauffement planétaire."

Dans le cadre de cette entente, Bell profitera également de l'expertise technique du WWF-Canada pour contribuer à renforcer sa stratégie et ses activités relatives aux changements climatiques, y compris ses efforts pour documenter et communiquer les avantages des téléconférences, du contrôle de la consommation d'énergie et de la facturation électronique en regard des changements climatiques.

En 2006, Bell estime que les inscriptions à sa facturation électronique ont éliminé l'utilisation de quelque 16,6 millions de feuilles de papier et évité que 468 tonnes métriques de GES soient émises dans l'atmosphère.