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Les Etats généraux du Grand Paris de l’Economie circulaire ont été lancés ce 11 mars (voir notre dépêche ), en présence de 500 élus locaux, responsables associatifs et entrepreneurs, l’occasion pour Federec et l’éco-organisme dédié aux papiers de rappeler que les emplois créés dans le secteur du recyclage ne sont pas délocalisables. Et de l’emploi, il y en a…
Parmi les thématiques abordées « L’économie circulaire est-elle créatrice d’emploi ? ». Quand bien même on sait, depuis belle lurette, que le recyclage créé et maintient des emplois pérennes et non délocalisables, que nombreuses sont les structures qui répondent positivement à cette question, Ecofolio et la Fédération des entreprises du recyclage , qui participaient à cette matinée de lancement, ont tenu à confirmer que Oui, ce modèle constitue une opportunité pour instaurer des emplois « durables et non délocalisables pour l’industrie française ».

Un point sur lequel les deux directeurs généraux, Géraldine Poivert, pour Ecofolio et Alfred Rosales, pour Federec, ont insisté à l’occasion de la table ronde.

