Fnade : Muriel Olivier succède à Olivier Le Blan

 Pendant quinze ans, Olivier Le Blan a assuré la fonction de Déléguée Générale de la Fnade; ayant fait valoir ses droits à une retraite bien méritée, c'est Muriel Olivier, membre du conseil d’administration depuis 2013, puis vice-présidente de la fédération depuis 2015,  qui a été choisie pour lui succéder...

 Ingénieur de l’Institut National des Sciences Appliquées (INSA) de Lyon, département génie énergétique et diplômée de l’ESSEC en Management Général Urbain, Muriel Olivier a été successivement en charge  de la direction technique (IDF) puis, et ce depuis 2011, de la direction de la communication et des relations institutionnelles (IDF puis France) chez Veolia Propreté sur l'ensemble des métiers de la gestion des déchets (collecte et traitement de déchets non dangereux pour le compte de collectivités locales et d'entreprises). Par ailleurs membre du conseil d’administration de la Fédération Nationale des Activités de la Dépollution et de l’Environnement, depuis 2013, avant d'en être nommée vice-présidente, en 2015, elle succède à Vincent Le Blan, qui a fait valoir ses droits à la retraite (et à qui nous souhaitons une retraite longue et heureuse), en qualité de Déléguée Générale...

« Je salue l’arrivée de Muriel Olivier, au nom de tous les membres du Conseil d’Administration de la Fédération, assure Jean-Marc Boursier, le président de la Fnade soulignant par ailleurs « sa grande connaissance de nos métiers, acquise au sein de l’entreprise, mais également en tant que membre actif de la fédération. Son engagement au service de la profession depuis plusieurs années, permettront à Muriel Olivier de mobiliser nos adhérents et nos partenaires dans un contexte où les enjeux pour nos métiers sont particulièrement forts »...
Des propos non démentis par la nouvelle Déléguée générale qui a confirmé ô combien « dans cette période de mutation profonde de nos métiers (elle) souhaite voir la Fnade poursuive son engagement aux côtés des pouvoirs publics et des partenaires de la Fédération. Nous sommes à un moment clé dans la transformation de notre économie et nous avons aussi à répondre aux enjeux environnementaux et climatiques.
La dimension industrielle de l’économie circulaire n’est pas suffisamment reconnue ; nos entreprises jouent pourtant un rôle majeur dans le développement de celle-ci (...). Il est indispensable de créer les conditions qui favoriseront les investissements de nos entreprises. C’est ainsi que nous parviendrons à garantir l’approvisionnement en matières recyclées et en énergie aux entreprises consommatrices, et à améliorer ainsi de manière significative l’efficacité des ressources ».