La fête des « 2000 » : l’hommage de Paprec à ses 2000 collaborateurs

Le 06/07/2007 à 18:35  

La fête des « 2000 » : l’hommage de Paprec à ses 2000 collaborateurs

La fête des Créé il y a 13 ans à La Courneuve, sous la houlette de son fondateur Jean Luc Petithuguenin, le groupe Paprec s’est fait connaître de par son ambition de donner au recyclage une dimension industrielle. Le recyclage est aujourd’hui plus que jamais un marché porteur, Paprec en est l’un des acteurs principaux avec en 2007, 2000 collaborateurs, 2 000 000 de tonnes recyclées et plus de 300 millions d’Euros de chiffre d’affaires.

A l’origine, Paprec est spécialisé dans la collecte, le tri et le recyclage du papier. L’entreprise élargit progressivement son champ d’activité aux plastiques, aux déchets industriels banals (DIB), au bois, à la collecte sélective et depuis 2006 aux déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE). 12 ans de croissance : 5 M€ de CA en 1994, 250 € en 2006. 24 implantations toutes certifiées ISO. Le groupe affiche aujourd’hui 2000 salariés et 2 millions de tonnes recyclées.

Chiffres symboliques que le président directeur général Jean Luc Petithuguenin, souhaitait marquer par un événement unique, la « fête des 2000 » : un hommage rendu à ses 2000 collaborateurs, à ses partenaires et ses 10 000 clients fidèles.
La fête de Paprec à l'Opéra

Le 28 juin 2007, rendez-vous était donc donné à l’Opéra Garnier que Paprec avait, le temps d’une soirée, privatisé.

2000 invités (clients, partenaires, collaborateurs) étaient conviés à assister à la première de « La fille Mal Gardée » puis à dîner au sein de la grande maison.

La version joviale et colorée de Frederick Ashton créée à Londres en 1960 était dansée par le Corps de Ballet de l’Opéra National de Paris. Ce spectacle rare, un ballet populaire imaginé en 1789, à la veille de la révolution, constitue l’un des grands événements de la saison artistique 2007.

La « Fête des 2000 » succède à la « Fête des 500 » organisée en 2000 et à la « Fête des 1000 » de 2002 pour laquelle Paprec avait investi le Musée des Arts Forains.

500, 1000, 2000… ne sont donc pas de simples numéros mais des données qui en disent long quant au dynamisme de l’entreprise...

Il nous reste donc à attendre la soirée des 3000… Et au rythme où vont les choses, il a fort à parier que ce ne sera pas long ; la difficulté consistera sans doute pour le groupe à trouver la salle adéquat…