Le prix du livre de l’environnement : un grand bravo à Robert Barbault


Anne Marie Couderc, DG du groupe Hachette Filipacchi, Christophe Barvie, Directeur adjoint de l’Express, Alain Decaux, membre de l’Académie française, Xavier Emmanuelli, aujourd’hui président du Samu Social, Frédéric de Saint-Sernin, Conseiller spécial du Président de la république et bien d’autres avaient répondu présent à l’invitation de son président, Henri Proglio…
 
 
Ce prix a pour vocation de soutenir et d’encourager les initiatives éditoriales des professionnels de l’édition et des écrivains, dès lors qu’elles visent à sensibiliser le grand public aux enjeux environnementaux de notre planète, aux actions mises en œuvre pour y répondre et aux réflexions qu’un tel sujet suscite.
Le jury, composé de 16 membres, présidé par Claude Michelet, est réparti en 4 collèges : 5 personnalités qualifiées du Conseil d’administration de la Fondation, 3 lauréats du concours général, dans la discipline « Science de la vie et de la terre », 3 journalistes dont les centres d’intérêt concernent l’édition et l’environnement, 5 salariés de Veolia Environnement, ayant déjà publié un ouvrage quel qu’en soit le genre.
 
Afin de présenter et mieux faire connaître l’ouvrage, la Fondation achète également des espaces publicitaires, pour un montrant de 50 000 euros, dans la presse générale et spécialisée dans l’environnement.
L’auteur n’est pas oublié : il touche un chèque de 5 000 euros et bénéficie d’un large écho.


Ecologue de réputation mondiale, Robert Barbault est professeur à l’Université Paris VI, Directeur du département écologie et gestion de la biodiversité au Muséum d’Histoire Naturelle de Paris et Directeur adjoint du département des sciences de la vie au CNRS.
Il est l’auteur de nombreuses publications scientifiques et d’ouvrages pour les non spécialistes, notamment pour les étudiants. Ses travaux se sont concentrés sur l’étude du tourisme écologique, la biodiversité.
L’auteur a tenté, avec d’autres scientifiques d’expliquer et de faire prendre conscience à tous des enjeux du développement raisonnable et durable au niveau international.
 
L’éléphant, dont il s’agit c’est l’homme. Le jeu de quilles, c’est le vivant, la dynamique et la diversité du vivant. Avec ses grosses pattes, c'est-à-dire ses interventions multiples, grossières, désordonnées, l’éléphant bouscule la dynamique du vivant, il détruit ses délicats équilibres, il sape le potentiel de la biodiversité dont il a pourtant lui-même besoin pour sa vie….
	
	
