Les 21 et 28 mars, soyez éco-électeurs !



C’est donc dans ce cadre beaucoup plus large que les questions doivent aussi se poser...

Des critères environnementaux seront-ils pris en compte dans la définition des investissements réalisés par les Régions ? Les constructions ou rénovations seront-elles aux normes haute qualité environnementale ?
La volonté d’évaluer les impacts environnementaux pour l’attribution de certaines aides financières (recherche, agriculture…) est-elle affirmée ? La vente directe producteur/consommateur, facteur de soutien aux territoires et de diminution des transports, sera-t-elle favorisée ?
La Région devrait, comme l’Etat, intégrer l’environnement et plus généralement le développement durable dans ses politiques. Un agenda 21 régional est-il envisagé ? Qu’est-il prévu pour prendre en compte le développement des énergies renouvelables, la nécessaire maîtrise de la demande en énergie, la lutte contre l’effet de serre, l’évolution climatique annoncée qui nécessite de revoir les orientations en matière de tourisme et de logements sociaux ? Peut-on constater un engagement clair en faveur d’un rééquilibrage entre les budgets des différents modes de transport (attribuer, dès à présent, une enveloppe financière plus importante au profit du ferroviaire et de la voie d’eau et, lors du prochain contrat de plan, affecter au moins le même budget que pour la route) ?
En terme de Gouvernance, l’éducation à l’environnement est elle favorisée ? La consultation des citoyens est-elle effective ? Le soutien à la vie associative, tant pour aider à la réalisation de projets d’intérêt collectif que le maintien (voire le développement) des emplois en milieu associatif, est-il affiché ?

