
Vérités sur les maladies émergentes ou le scandale de l’intoxication aux métaux lourds… Un livre qui plombe l’ambiance tant il est riche en informations. Selon le proverbe, toute vérité n’est pas bonne à dire… Sauf pour l’auteur, Françoise Cambayrac, qui démontre dans son ouvrage de plus de 400 pages, que depuis 180 ans maintenant, de génération en génération, les doses de mercure s’accumulent dans les organismes humains…

Il nous reste la viande, pensez-vous…
« Hors les canards sauvages empoisonnés au plomb, les volailles sont plutôt des viandes saines de même que les lapins. Le boeuf, le veau, le mouton, le porc sont assez chargés en cadmium, tandis que les niveaux de mercure sont raisonnables »…
Les fruits ? Attention aux peaux des oranges traitées au mercure… et aux jus de fruits industriels.
Les légumes ? Si ça peut aller côté mercure, ils sont chargés en plomb à cause des retombées atmosphériques industrielles et crématoires…
Et l’eau du robinet, dont on nous abreuve qu’elle est vachement bonne… Et bien, elle est chargée en chlore, lui-même fabriqué par électrolyse du chlorure de sodium avec des cathodes au mercure liquide… Le droit européen interdit cette pratique, mais la France est balaise : elle a obtenu une dérogation…. Tiens, tiens…
« Ce chlore produit avec des cathodes au mercure renferme donc lui-même du mercure et pollue notre eau de consommation courante, celle avec laquelle vous faites votre thé, café, soupes, cuire votre riz, ou vos pâtes »…
« Certes, cette contamination au mercure de l’eau du robinet est faible, mais, ajoutée à celle de l’air qu’on respire, à celle de l’alimentation (poissons, fruits et légumes), à celle des vaccins, à celle des amalgames et des soins dentaires, on risque l’overdose »…

Bref : apparemment incontournable dans bien des domaines, il s’échappe, se faufile et contamine allègrement, malheureusement…
Au demeurant, le 13 mars 2007, le Figaro titrait sous la plume de notre confrère Yves Miserey « Un millier d’experts réunis aux Etats-Unis ont lancé un appel pour dénoncer les risques du méthylmercure (la forme le plus dangereuse pour les organismes vivants, ndlr), qui s’accumule dans la chaîne alimentaire »…
Et si seulement c’était tout… Ben non !
Au risque de prendre une gamelle, l’auteur égratigne les fabricants de casseroles, cocottes, faitouts, poêles, bouilloires électriques et plats en métal, constitués d’alliages métalliques « dont rien ne dit qu’ils soient stables » : l’inox relargue du nickel, l’aluminium est dangereux, le baryum extrêmement toxique et le plomb, on n’en parle même pas…
Pffff! Impossible d'y couper, apparemment. Sauf à chercher du matériel "nickel" qui coûte sans doute bonbon...


Guérie et informée du danger insoupçonné des amalgames dentaires par un médecin précurseur et courageux, aujourd’hui disparu, elle a entrepris de transmettre son héritage à travers deux livres publiés aux Éditions Mosaïque-Santé.
En partageant son expérience et les conclusions du vaste travail de recherche qu’elle a mené sur le sujet, elle lève le voile sur ce qui pourrait être l’un des plus grands scandales de santé du 21e siècle.

C’est un formidable scandale de santé publique qu’elle met en évidence ici. Là où son second livre, « Maladies émergentes, comment s’en sortir ? », se voulait un recueil de témoignages et un guide pratique destiné aux intoxiqués chroniques, Vérités sur les maladies émergentes est conçu comme une véritable thèse médicale, étayée de preuves scientifiques issues des travaux de chercheurs du monde entier, et accessible au grand public comme aux professionnels de la santé.


