
 La coupe est pleine… Voilà encore une dépense qui n’était pas prévue au porte-monnaie, qu’il va falloir avaler quand bien même la pilule est amère et qu’on va avoir du mal à digérer… Il semble en effet que la collecte et le traitement des déchets ne seront pas des trucs de première nécessité… Ce qui voudrait dire que la salubrité publique est un luxe ? Ou quelque chose d’assimilé??? Si tel est le cas, non seulement c’est un sacré bond en arrière, mais ce sont encore 50 millions que l’on va nous piquer…
 La coupe est pleine… Voilà encore une dépense qui n’était pas prévue au porte-monnaie, qu’il va falloir avaler quand bien même la pilule est amère et qu’on va avoir du mal à digérer… Il semble en effet que la collecte et le traitement des déchets ne seront pas des trucs de première nécessité… Ce qui voudrait dire que la salubrité publique est un luxe ? Ou quelque chose d’assimilé??? Si tel est le cas, non seulement c’est un sacré bond en arrière, mais ce sont encore 50 millions que l’on va nous piquer… 
 
 
 A la grande surprise des collectivités locales gérant les déchets ménagers en France, qui n’ont pas été informées au préalable comme la plupart des autres acteurs concernés, le projet prévoit que la collecte et le traitement des ordures ménagères déposées quotidiennement par les français ne seront pas compris dans la liste des services de première nécessité.
 
 Alors que les coûts de la gestion des déchets (environ 120 euros par habitant) ont lourdement augmenté ces dernières années en raison du doublement de la production de déchets et des nouvelles contraintes réglementaires nationales et européennes, alors que les déchets font déjà l’objet d’une taxe générale sur les activités polluantes qui rapporte plus de 300 millions d’euros à l’Etat suite au Grenelle de l’Environnement, alors que la plupart des mesures du Grenelle censées venir alléger le coût des déchets (écocontribution sur les déchets dangereux, les déchets de meubles, les seringues usagées, augmentation de l’écocontribution sur les déchets d’emballages) n’ont pas ou peu été mises en oeuvre, cette nouvelle décision injuste provoque la colère des collectivités locales.
 
	
	
