Le plasturgiste Francofil, spécialisé dans la fabrication de filaments pour l’impression 3D, s’est démarqué en colorant sa gamme (produite à partir d’amidon de maïs) à l’aide de déchets naturels, tels que coquilles saint jacques, résidus de blé, marc de café... qui lui sont fournis par l’entreprise caennaise Naturplast. Basée en Seine Normandie, elle va plus loin en signant un partenariat avec Veolia Propreté
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